Le programme de français en classe de première

13/07/2013 13:51

Présentation générale

Dans la continuité de la classe de seconde, le programme de première vise à élargir chez les élèves la connaissance de la littérature et à en renforcer le goût. Le travail mené en seconde sur des objets relativement circonscrits, afin de donner des repères aux élèves, laisse place en première à une étude qui met en évidence certaines évolutions historiques des genres littéraires. Pour permettre, par ailleurs, un approfondissement de ces connaissances et de la réflexion sur le fait littéraire, ces évolutions sont abordées selon des points d’entrée spécifiques, qui en autorisent une approche plus concrète et plus précise à la fois.

Le travail mené en classe a pour but de consolider et d’enrichir la culture commune acquise au cycle précédent : connaissance des grands genres littéraires, de leurs principales caractéristiques de forme, de sens et d’effets, développement d’une conscience esthétique de la littérature, du goût pour la lecture des œuvres et pour l’écriture.

Enfin, chaque objet d’étude doit permettre de construire chez l’élève l’ensemble des compétences énumérées plus haut. On s’attache en particulier à rendre l’élève progressivement plus autonome dans sa démarche, qu’elle soit de recherche, d’interprétation ou de production, et à développer une attitude à la fois réflexive et critique par rapport aux objets étudiés.

Le programme de première fixe quatre objets d’étude, qui peuvent être traités dans l’ordre souhaité par le professeur au cours de l’année. À l’intérieur de ce cadre, celui-ci organise librement des séquences d’enseignement cohérentes, fondées sur une problématique littéraire. L’étude de trois œuvres au moins et de trois groupements au moins sur une année est obligatoire.

Les extraits qui constituent les groupements de textes (cf. infra les corpus ) ne font pas obligatoirement l’objet d’une lecture analytique ; certains d’entre eux peuvent être abordés dans le cadre de lectures cursives, selon le projet du professeur. Les textes et documents qui ouvrent sur l’histoire des arts ou sur les langues et cultures de l’Antiquité pourront trouver place au sein des groupements : ils ne constituent pas nécessairement un ensemble séparé.

Contenus

 

 

Quatre objets d’étude communs à toutes les séries générales

 

 

Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours

L’objectif est de montrer aux élèves comment, à travers la construction des personnages, le roman exprime une vision du monde qui varie selon les époques et les auteurs et dépend d’un contexte littéraire, historique et culturel, en même temps qu’elle le reflète, voire le détermine.

Le fait de s’attacher aux personnages permet de partir du mode de lecture qui est le plus courant. On prête une attention particulière à ce que disent les romans, aux modèles humains qu’ils proposent, aux valeurs qu’ils définissent et aux critiques dont ils sont porteurs.

Dans cette appréhension de l’univers de la fiction, on n’oubliera pas que la découverte du sens passe non seulement par l’analyse méthodique des différents aspects du récit qui peuvent être mis en évidence (procédés narratifs et descriptifs notamment), mais aussi par une relation personnelle au texte dans laquelle l’émotion, le plaisir ou l’admiration éprouvés par le lecteur jouent un rôle essentiel.

Pour permettre aux élèves de prendre conscience des évolutions du genre romanesque et enrichir leur culture, le professeur a soin de leur proposer des textes différents de ceux qui ont été étudiés en seconde.

Corpus :

- Un roman, du XVIIème siècle à nos jours, au choix du professeur.

- Un ou deux groupements de textes permettant d’élargir et de structurer la culture littéraire des élèves, en les incitant à problématiser leur réflexion en relation avec l’objet d’étude concerné : le professeur veille à proposer dans ces groupements des textes ou des documents appartenant à d’autres époques que celle à laquelle appartient le roman étudié par ailleurs, pour mieux faire ressortir les spécificités du genre romanesque à telle ou telle période et dessiner des évolutions en matière d’histoire des formes et des représentations.

- En relation avec l’histoire des arts, un choix de textes et de documents permettant de mettre en évidence les relations existant entre la représentation des personnages et des milieux romanesques et celle qu’en donnent les autres arts – la peinture, la gravure, la sculpture, l’opéra par exemple – à la même époque.

 

 

Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIème siècle à nos jours

L’objectif est de faire découvrir des œuvres théâtrales qui renouvellent les formes classiques étudiées en seconde, mais aussi de sensibiliser les élèves à l’art de la mise en scène, notamment dans sa capacité à enrichir l’interprétation. La réalisation scénique déterminant profondément l’écriture des textes dramatiques et permettant d’en faire jouer pleinement les effets, on s’attache à faire percevoir aux élèves les interactions entre texte et représentation.

Prenant appui sur une programmation locale ou sur des captations, l’étude proprement littéraire du texte théâtral sera étayée par l’analyse de mises en scène comparées, et prendra ainsi en compte les données propres de la dramaturgie.

Corpus :

- Une pièce de théâtre du XVIIème siècle à nos jours, au choix du professeur.

- Un ou deux groupements de textes permettant d’élargir et de structurer la culture littéraire et dramatique des élèves, en les incitant à problématiser leur réflexion en relation avec l’objet d’étude concerné : le professeur veille à proposer dans ces groupements des textes et des documents de divers types (iconographiques, sonores, numériques, photographiques, filmiques) appartenant ou renvoyant à d’autres époques que celles auxquelles appartiennent les pièces étudiées par ailleurs, pour favoriser la conscience des évolutions du genre dramatique. Ces groupements permettront ainsi de mettre en perspective une histoire des formes théâtrales et des représentations.

- En relation avec les langues et cultures de l’Antiquité, un choix de textes et de documents permettant de réfléchir aux fonctions et significations du théâtre dans le monde grec et latin et de les relier avec les conditions de la représentation et son déroulement. La naissance et l’évolution de la tragédie et de la comédie, les dimensions religieuse et civique du théâtre sont ainsi l’objet d’une étude prenant en compte le contexte de création et les spécificités concrètes du théâtre (condition des acteurs, nature du spectacle et des effets recherchés, espace de la représentation, fonction des masques, etc.).

 

 

Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours

L’objectif est d’approfondir avec les élèves la relation qui lie, en poésie, le travail de l’écriture à une manière singulière d’interroger le monde et de construire le sens, dans un usage de la langue réinventé. On fait ainsi appréhender un trait essentiel de la littérature comme « art du langage », faisant appel à l’imagination et à la matérialité sensible de la langue.

Sans négliger l’émotion qui peut s’exprimer et se communiquer à travers les textes poétiques, on s’attache également à contextualiser la lecture de la poésie, en donnant aux élèves des éléments de son histoire, dans ses continuités, ses évolutions et ses ruptures, et en leur faisant approcher les mouvements esthétiques et culturels avec lesquels elle entre en résonance. On met ainsi en relief le rôle et la fonction du poète, souvent aux avant-postes de la littérature et de la culture. Enfin, on attire l’attention sur les phénomènes d’intertextualité, pour construire au fil des lectures une connaissance des repères essentiels à la compréhension des mouvements esthétiques dans lesquels s’inscrit la poésie.

Pour donner une idée de la diversité des formes et des genres poétiques, le professeur peut ancrer son étude sur quelques grands « lieux » de la poésie – dire l’amour, dire la mort, dire le monde, chercher le sens, louer ou dénoncer, exprimer son espoir, sa révolte, etc. – qui permettent d’appréhender cette variété de manière plus concrète. Il a soin de travailler sur des textes différents de ceux étudiés en classe de seconde.

Corpus :

- Un recueil ou une partie substantielle d’un recueil de poèmes, en vers ou en prose, du Moyen Âge à nos jours, au choix du professeur.

- Un ou deux groupements de textes permettant d’élargir et de structurer la culture littéraire des élèves, en les incitant à problématiser leur réflexion en relation avec l’objet d’étude concerné. Le professeur veille ainsi à proposer des textes ou des documents appartenant à d’autres époques que celle du recueil étudié par ailleurs, pouvant aussi relever de genres ou d’arts différents, pour mieux faire ressortir les spécificités de la poésie à telle ou telle période et dessiner des évolutions en matière d’histoire des formes et des représentations.

- En relation avec l’histoire des arts, un choix de textes et de documents permettant de mettre en évidence les relations entre la poésie et d’autres arts, à une époque donnée ou dans le cadre d’un mouvement esthétique particulier. On privilégiera l’étude de mouvements qui marquent des étapes dans la revendication d’un renouveau esthétique. Les relations entre poésie et musique à la Renaissance, le baroque en poésie, mais aussi dans la peinture, la sculpture et l’architecture, les grands traits de l’esthétique surréaliste, par exemple, peuvent faire l’objet d’un travail qui rende sensibles aux élèves les correspondances entre les arts et la singularité de leurs modes et de leurs formes d’expression.

 

 

La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIème à nos jours

L’objectif est de permettre aux élèves d’accéder à la réflexion anthropologique dont sont porteurs les genres de l’argumentation afin de les conduire à réfléchir sur leur propre condition. On contribue ainsi à donner sens et substance à une formation véritablement humaniste. Dans cette perspective, on s’attache à mettre en évidence les liens qui se nouent entre les idées, les formes qui les incarnent et le contexte dans lequel elles naissent. Le fait d’aborder les œuvres et les textes étudiés en s’interrogeant sur la question de l’homme ouvre à leur étude des entrées concrètes et permet de prendre en compte des aspects divers, d’ordre politique, social, éthique, religieux, scientifique par exemple, mais aussi de les examiner dans leur dimension proprement littéraire, associant expression, représentation et création.

Le professeur a soin de donner aux élèves une idée de la diversité des genres de l’argumentation et de leur évolution du XVIème au XXème siècle ; il leur propose à cet effet d’autres textes que ceux qu’ils ont pu étudier en seconde.

Corpus :

- Un texte long ou un ensemble de textes ayant une forte unité, du XVIème siècle à nos jours, au choix du professeur, étudié dans sa composition et son développement aussi bien que dans sa rédaction : essai, discours, pamphlet, recueil de maximes ou de pensées, de fables ou de satires, extraits de correspondances d’écrivains, texte narratif à visée persuasive, etc.

- Un ou deux groupements de textes permettant d’élargir et de structurer la culture littéraire des élèves et de problématiser leur réflexion en relation avec l’objet d’étude concerné. Le professeur veille ainsi, en fonction du projet, à proposer dans ces groupements des textes ou des documents appartenant à d’autres époques que celle à laquelle appartient le texte long étudié par ailleurs, pour mieux faire ressortir les spécificités de telle ou telle période et dessiner des évolutions en matière d’histoire des idées et des formes.

- En relation avec les langues et cultures de l’Antiquité, et dans une perspective humaniste de connaissance des sources, un choix de textes et de documents permettant de retrouver dans les œuvres antiques les racines de questions et de représentations touchant à la condition de l’homme. Le professeur choisit des œuvres ou extraits d’œuvres qui ont fait l’objet de reprises et de variations et constituent un héritage vivant à travers les siècles. Les récits de création ou fondation, les tragédies, les poèmes, mais aussi les tableaux, fresques et sculptures pourront ainsi nourrir une réflexion anthropologique que l’étude des genres de l’argumentation aura permis d’aborder selon des angles différents mais complémentaires.

 

 

L’étude de la langue

L’étude de la langue se poursuit en classe de première : il s’agit de mettre les connaissances acquises au service de l’expression écrite et orale ainsi que de l’analyse des textes. On cherche à donner aux élèves, par la consolidation et le réinvestissement de ces connaissances, le goût de l’expression juste et la conscience de la liaison entre faits de langue, effets de sens et articulations de la pensée.

Au-delà des rappels nécessaires en matière de grammaire de phrase, l’étude de la grammaire de texte et de la grammaire de l’énonciation se poursuit pour construire une conscience plus complète et mieux intégrée de ces différents niveaux d’analyse.

Pour cela :

- au niveau de la phrase, les éventuelles lacunes en matière de syntaxe doivent être comblées, pour permettre aux élèves d’appréhender la langue comme système ordonné et descriptible ;

- au niveau du texte, on privilégie les questions qui touchent à l’organisation et à la cohérence de l’énoncé, afin de développer la capacité à prendre en compte et à structurer le sens global d’un texte ou d’un propos ;

- au niveau du discours, la réflexion sur les situations d’énonciation, sur la modalisation et sur la dimension pragmatique est développée, dans le but de favoriser la compréhension de l’implicite, des enjeux et des interactions dans toute forme de communication ;

- le vocabulaire fait l’objet d’un apprentissage continué, notamment en relation avec le travail de l’écriture et de l’oral : on s’intéresse à la formation des mots, à l’évolution de leurs significations et l’on fait acquérir aux élèves un lexique favorisant l’expression d’une pensée abstraite.

L’orthographe demeure l’objet d’une attention constante.

Activités et exercices

L’appropriation par les élèves de ces connaissances et de ces capacités suppose que soient mises en place des activités variées favorisant une approche vivante des apprentissages en fonction des besoins des élèves. Le professeur vise, dans la conception de son projet et dans sa réalisation pédagogique, à favoriser cet engagement des élèves dans leur travail. Une utilisation pertinente des nouvelles technologies pourra les y aider.

En outre, des exercices plus codifiés, auxquels on a soin d’entraîner les élèves, permettent de vérifier la construction effective des apprentissages mais aussi de les préparer aux épreuves du baccalauréat. Au minimum, trois évaluations par trimestre, portant sur les différents exercices de l’EAF et constituant des travaux aboutis, doivent être proposées dans les classes.

Il est souhaitable qu’un certain nombre d’activités de lecture, de recherche et d’écriture puissent être réalisées en relation avec le travail mené, au CDI, avec le professeur documentaliste.

Activités

- Pratiquer les diverses formes de la lecture scolaire : lecture cursive, lecture analytique.

- Lire et analyser des images, fixes et mobiles.

- Comparer des textes, des documents et des supports.

- Faire des recherches documentaires et en exploiter les résultats.

- Pratiquer diverses formes d’écriture (fonctionnelle, argumentative, fictionnelle, poétique, etc.).

- S’exercer à la prise de parole, à l’écoute, à l’expression de son opinion et au débat argumenté.

- Mémoriser des extraits.

- Mettre en voix et en espace des textes.

Exercices

- Écriture d’argumentation : entraînement au commentaire littéraire et à la dissertation.

- Écriture d’invention.

- Écriture de synthèse et de restitution.

- Exposé oral.

- Entretien oral.

La pratique de l’ensemble des activités, écrites et orales, favorise l’acquisition des compétences nécessaires à la réussite des exercices codifiés, auxquels on entraîne les élèves en vue des épreuves anticipées de français.

L’ÉDUCATION AUX MÉDIAS EN SECONDE ET EN PREMIÈRE

Durant toute leur scolarité au lycée, les élèves font un usage régulier d’outils et de supports numériques pour chercher, organiser et produire de l’information ou pour communiquer dans le cadre de leur travail scolaire. Par ailleurs, ils sont encouragés à pratiquer des activités utilisant différents médias (radio, presse écrite, audio-visuel principalement). Cet usage courant ne signifie pas pour autant qu’ils en comprennent les logiques fondamentales ni qu’ils aient une conscience claire des enjeux et des incidences de ces technologies sur leurs modes de penser et d’agir. Il est donc nécessaire de leur faire acquérir une distance et une réflexion critique suffisantes pour que se mette en place une pratique éclairée de ces différents supports, en leur montrant ce qu’ils impliquent du point de vue de l’accès aux connaissances, de la réception des textes et des discours, de l’utilisation et de l’invention des langages, comme du point de vue des comportements et des modes de relations sociales qu’ils engendrent.

Le professeur de lettres a un rôle majeur à jouer pour faire acquérir cette compétence aux élèves. Son objectif est de développer leur autonomie afin de les aider à se servir librement et de manière responsable des médias modernes, comme supports de pratiques citoyennes mais aussi créatives. En français, l’accent sera mis sur les questions d’énonciation (comprendre les procédures à l’œuvre dans différents types de textes, de discours et de dispositifs médiatiques, en lien avec leurs conditions de production et de diffusion) et d’interprétation (comprendre comment se construit et se valide une interprétation).

Pour faire acquérir par les élèves cette compétence en matière de culture de l’information et des médias, une collaboration du professeur de lettres avec le professeur documentaliste est vivement recommandée.

L’HISTOIRE DES ARTS EN SECONDE ET EN PREMIÈRE

Au lycée les professeurs de lettres doivent apporter leur contribution à l’enseignement de l’histoire des arts, dans le cadre des programmes de français tels qu’ils sont définis par le présent texte. Aussi, pour chacun des objets d’étude du programme, en seconde comme en première, les corpus intègrent des choix de textes et de documents définis en relation avec l’histoire des arts ou avec les langues et cultures de l’Antiquité.

L’enseignement de l’histoire des arts est transversal et trouve sa place dans l’ensemble des disciplines. Il est d’autant plus naturel que les lettres y prennent leur part, que la littérature occupe parmi les arts une place majeure et que son étude privilégie au lycée deux perspectives complémentaires : celle de l’histoire littéraire et celle de la caractérisation des grands genres. Si la périodisation du programme d’histoire des arts ne correspond pas toujours à celle qui prévaut dans ceux des classes de seconde et de première en français, l’étude des relations entre la littérature et les autres arts est bien un aspect essentiel de cet enseignement dans son ensemble, qui compte parmi ses finalités « le développement d’une conscience esthétique permettant d’apprécier les œuvres, d’analyser l’émotion qu’elles procurent et d’en rendre compte » (cf. le Préambule).

Cet enseignement contribue en outre de manière essentielle à la constitution d’une culture humaniste qui implique la capacité à établir, dans la profondeur historique, des liens entre les différents arts, à comprendre le jeu de leurs correspondances, mais aussi la spécificité des moyens d’expression et des supports dont ils usent. La nécessaire précision des notions et des analyses dans le cours de français au lycée ne doit pas être ressentie comme un enfermement préjudiciable à la discipline elle-même : les ouvertures vers les autres arts doivent permettre d’enrichir les interprétations, de développer le goût pour les œuvres et de vivifier les apprentissages.

Les liens ménagés entre certains objets d’étude et les langues et cultures de l’Antiquité mettent en évidence la relation privilégiée entre le français, les langues anciennes et les œuvres qui nous viennent de l’Antiquité et du Moyen Âge. Cette relation tient également aux valeurs humanistes dont l’école est porteuse et dont la transmission suppose que soient fréquentées les sources encore vives de notre culture. Elle recoupe le plus souvent, dans ces programmes, l’histoire des arts. Tant pour ce qui est du théâtre que pour ce qui concerne la littérature d’idées, en seconde et en première, les indications données ouvrent aux professeurs la possibilité de prendre appui sur des textes et des documents qui renvoient à certaines des thématiques du programme de cet enseignement : champ anthropologique, champ historique et social, et champ esthétique, en particulier.